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Pour la science ? [feat mon bourreaux Edward]

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Jeu 30 Nov - 12:49



 

 
Pour la science ?
FT Edward

 
  "L'amour peut commencer en un regard ... d'autre demande de la torture"

 
Tu te sens lourde … tu ne serais pas dire pourquoi… tu as un trou noir… qu’est ce qui c’est passer ? Toi la petite hybride sage et mignonne tu t’es encore embarquer dans une situation que tu n’as pas souhaité … Tu ne sens pas ton corps être déplacer… Tu as juste entendu la voix de l’homme te dire que vous feriez connaissance un peu plus tard. Avais-tu mangé quelques choses de mauvais au petit déjeuner où ta théorie que ce soit l’homme qui t’ai drogué est juste ?

Tu sentis très rapidement quelques chose de froid dans ton dos …. Comme si ça te touchais a même la peau. Mais où es-tu ? Tu ne te réveil pourtant pas immédiatement … Toute ta vie se passe devant toi… tout ce que tu es capable de te souvenir … Seiichi … ton maitre … tes parents … Tu te souvenais que des moments choquant de ta vie … Tu te souvenais même de Kabuto et Shin… ces deux personnes a qui tu t’étais attacher à cause de simple petite histoire.

Tu fini doucement par te réveiller … aucun bruit et c’est étrange mais … tu ne peux pas ouvrir les yeux… pourquoi ? Tu essaie aussi de bouger mais il semblerait que tes poignet, cheville et cou soit bloquer … tu sens aussi quelques chose dans ta bouche… Celui qui t’a attacher n’est pas très futé… tu ne peux pas prononcer le moindre son… tu as réussi à faire sortir un son de ta bouche qu’une seule fois dans ta vie, tu n’étais qu’un nourrisson et tu mourrais de faim.

Tu essaie de bouger encore et encore en essayant de relativiser… tu es peut être juste malade et ton maitre ta emmener à l’hôpital… nan… ce n’est pas possible… tu te souviens être tombé devant l’homme que tu avais gentiment invité à boire le thé… tu regrettais … pourquoi fallait-il que tu sois si gentille ? Tu tremblais de peur… bizarrement tu n’as pas froid mais tu sens bien que tu ne portes plus rien sur ton corps … tu sentais que tes bras étaient attacher comme sur une croix… tu avala ta salive de peur … qu’allait-il encore t’arriver… tu rêvais de hurler à l’aide… mais tu ne peux pas… tu essaie quand même de crier mais rien ne sors… impossible … Tu sens alors une larme couler le long de ta joue droite… tu as peur… tu ne vois rien et de plus tu es nue… brisant une des promesses que tu avais faite à ton maitre.

Tu priais intérieurement pour que les dieux t’aide à te sortir d’ici … tu as si peur… les larmes coulent un peu plus a présents sur tes joues… nan… pourquoi toi ? Toi la gentille hybride sage et obéissante qui ne faisait de mal à personne.

 

 
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Lun 4 Déc - 11:46


Pour la science!



La journée était bien vite passée, je m’étais permis de faire une rapide toilette, de nettoyer ma cape et de faire un somme en attendant la nuit. Oh, dans le quartier souterrain il ‘y avait que peu de différence entre le jour et la nuit, après tout il était éclairé en permanence, mais je mettais un point d’honneur, dans mon domaine, à respecter un horaire précis. Nombreux, dans mon entourage, trouvaient cela incompréhensible. Par entourage, je veux bien sûr parler de ceux qui connaissaient un minimum ma personne. L’immortel qui accordait bien trop d’importance au temps. Ca semblait si improbable… Mais après tout, ne devient-on pas avare lorsque l’on est riche ?

Je me rendis dans une certaine pièce où de multiples médaillons attendaient, accrochés le long des murs. Un unique grimoire à la couverture usée mais préservée était disposé sur un petit bureau au centre de la pièce. Je glissais doucement une main sur le cuir défraichit par les années et resta un moment, perdu dans mes pensées. Etais je revenu par nostalgie ? C’est vrai que je n’avais partagé temporairement mon toi avec quiconque depuis de longues années. De nombreux noms me revenaient en tête, tous étaient rassemblés ici en un sens. C’était ma contribution, ma « collection ». Restait à voir si l’hybride qui dormait dans la cave aurait son nom ici un jour.

Je n’avais pas eu d’urgence aujourd’hui finalement. Oh, c’était un jour « off », mais cela ne voulait pas dire que des cas spéciaux requièrent ma présence. Bien, j’allais pouvoir me consacrer entièrement à ma proie. Cela faisait bien longtemps que je n’avais chassé ainsi, aussi étais je impatient de voir ce qu’elle avait dans le ventre, métaphoriquement parlant pour commencer.

Je descendais au sous-sol sans un bruit, pas besoin d’alerter tout de suite ma prisonnière n’est ce pas ? La porte pivota facilement sur ses gonds, révélant la jeune hybride attachée là où je l’avais laissé. La lumière provenant du couloir devait être la bienvenue pour la jeune femme, du moins si elle voyant quelque chose à travers le bandeau. Avant tout chose, je pris une boite d’allumette et allumais chacune des bougies qui étaient disposées sur les murs de la pièce avant de fermer la porte derrière moi. La fermeture du loquet était le genre de son que l’on pouvait facilement associer à l’idée d’une prison.

«  Bien le bonsoir, jeune miko. J’espère que tu n’as pas été incommodé par ce réveil des plus particulier ? »

Je savais qu’elle ne pouvait répondre, bâillon ou non, mais je ne pouvais m’empêcher de parler à mes proies. Avec une manette disposée non loin de la jeune femme, je commençais à faire pencher la croix à laquelle elle était attachée pour qu’elle puisse se trouver à l’horizontal.

« Est ce mieux ainsi ? »

Une fois allongée, je la plaçais au niveau de ses jambes et attrapais sa queue d’une main pour la bloquer à un étau accroché un peu plus bas et qui avait été ajouté à la croix par mes soins sur le pilier de soutien. Simple mesure de sécurité que j’avais jouté après la capture du premier hybride qui s’était retrouvé là. J’avais en effet expérimenté la dextérité de leur appendice supplémentaire tout comme j’avais découvert à quel point cet endroit du corps était sensible.  

« Ne t’inquiète pas, si tu restes calmes, tout ce passera très bien. D’accord ? »

Fis je avant de venir caresser ses cheveux. C’était amusant de montrer ainsi une certaine douceur à mes proies, elles se mettaient à espérer une certaine indulgence de ma part, chose que je n’avais pas assez pour la partager à d’autres.

« Sais tu pourquoi tu es ici ? »

Demandais je doucement à son oreille. Je me relevais lentement et fis glisser mes doigts sur son cou. Mes yeux scrutaient cette peau blanche sans marques avec la même gourmandise qu’un enfant aurait pour des friandises.

« J’espère que tu ne verras pas d’inconvénients à ce que je fasse quelques analyses et quelques expérimentations, n’est ce pas ? »


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Dim 10 Déc - 1:10


 

 
Pour la science ?
FT Edward

 
  "L'amour peut commencer en un regard ... d'autre demande de la torture"

 
Il faisait ni trop froid ni trop chaud mais la peur te glace le sang… tu as peur… plus que ça… tu es tétaniser… Tu essaie de réfléchir posément, sentant un léger filet de bave couler du bord de bouche jusqu’à ta poitrine… tu avais si peur qu’il t’arrive quoi que ce soit, de plus ton maitre allait être inquiet … Aucun bruit … rien et pourtant tu as l’ouïe assez développer … mais rien durant de longue minutes. Le silence est presque pensant, tes larmes coulant le long de tes joues, venant perler sur la croix sur laquelle tu es solidement attaché.

Apres de longue minutes de silence semblable a de la torture, tu entendis des bruits non loin de la porte, très faible avant d’entendre une porte s’ouvrir, tes oreilles se dressèrent… Qui étaient entré ? Tu avalas ta salive nerveusement, ne t’agitant pas de trop, trop peur que cela ait des conséquences trop fâcheuse. Tu entendis le claquement d’une allumette et le son des petites flammes persister et tu voyais légèrement la lumière sous le bandeau mais pas assez pour voir qui il pouvait bien y avoir dans la pièce mais à l’odeur tu dirais que c’était le même homme que tu as invité pour boire le thé mais ton odorat n’est pas assez développer pour le dire mais tu eu rapidement la réponse à ta question quand le son de sa voix se fit entendre.

Un réveil particulier ? C’est pire que ça… tu aurais aimé hurler à l’aide mais rien… rien ne voulais sortir de ta bouche … aucun son … Tu avais si peur de la suite. Tu voulais te défendre… te débattre mais tes force t’ont bel et bien quitté depuis plusieurs longues minutes… comme paralyser par la peur. Tu voulais lui répondre de te laisser partir… te laisser en paix… tu n’avais rien demandé et surtout que tu étais le genre d’enfant à être des plus sage. D’un coup tu sentis la plateforme sur laquelle tu étais attaché se mis à bouger pour se mettre à l’horizontal, tu bougeas un peu comme si tu toussais, ne faisant qu’un léger bruit, ton cou étant enfin soulager de la pression. Il y avait toujours le morceau de ferraille mais ton corps était à présent poser de ton son long comme si tu étais allongé habituellement.

Ces paroles ne te rassuraient pas … nan elle t’inquiétait même plus qu’autre chose. Tu te cambras un peu alors qu’il attrapa ta queue, une zone érogène si il l’a prend doucement mais fermement. Tu te crispas en sentant une sorte de pince tenir ta jolie queue blanche mais tu fus rassurer quand tu sentis qu’elle ne te ferait pas mal. Il essaya de te rassurer avec ces belles paroles et ces caresses mais tu étais encore plus inquiète … tu n’arrivais pas à te calmer, le bout de ta queue se débâtais encore et encore pour montrer ton désaccord... Nan tu ne voulais pas… tu as trop peur pour la suite.

Pourquoi tu es ici ? Nan… tu n’en sais rien... tu as trop peur… tu n’arrives plus à réfléchir… Tu ne sais pas quoi faire ni penser… tout ce bouscule… pourquoi toi ? Pourquoi vouloir te faire du mal… Ces mots avaient été chuchotés à ton oreille de manière si perverse … si … perturbante… que va-t-il te faire… ces dernière paroles te glace le sang... Tu seras alors les dents ainsi que les poings… marquant doucement la paume de tes mains avec tes ongles fin et te fis pleurer de nouveau… nan… tu ne veux pas. Tes oreilles se plaquèrent contre ton crane… Tu rêvais d’appeler à l’aide de toutes tes forces mais toujours rien… aucun son… aucune parole… rien…


 

 
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Mar 12 Déc - 10:46


Pour la science!



Aucun bruit, pas de cris, de supplications, c’était fascinant. non pas qu’elle était rassurée par la situation, je ne pouvais décemment concevoir qu’elle pouvait se sentir en sécurité, mais je m’attendais à ce que la panique ouvre quelques verrous lui permettant de produire des sons. Pourtant la seule chose que j'entendis d’elle fut une faible toux lorsque la pression sur son cou se fit plus faible.

Très intéressant… Cela voulait elle dire qu’elle ne pouvait produire aucun son, quelque soit la situation?

J’attrapais une seringue et fis une prise de sang pour garder un échantillon. Elle était, pour le moment, vierge de toute expérimentation et je voulais étudier l’avant et l’après. Une fois la fiole écarlate en lieu sûr, je revenais lentement vers la jeune hybride.

“ Bien, maintenant que les préparations ont été faites, nous allons pouvoir commencer. Tout d’abord, saches que tu ne reverras plus ton ancien maître. Tu es à présent ma propriété au même titre que ce bâtiment. Autre chose : Je ne reçois aucune plainte, te voilà prévenue. ”

Ma voix avait été autoritaire pour bien montrer que je n’admettais aucune réplique enfin, façon de parler. Je posais ma main sur son coeur afin d’en ressentir les pulsations, était elle affolée? Cela aurait été compréhensible. Elle semblait affolée, bien. Je fis le choix que laisser le bandeau et le bâillon afin de la garder en état de stress constant et m’éloignais d’elle afin de fouiller parmi plusieurs flacons. Il y avait tant de choses à tester… Il me fallait choisir avec parcimonie mes tests, je ne voulais pas que mon sujet test meure d’overdose comme le dernier en date… J’optais finalement pour une dose raisonnable de kétamine, un hallucinogène doublé d’un puissant anesthésiant qui pouvait être très dangereux pour le cerveau à forte dose.

“ Soit une gentille fille et profite un peu de l'expérience, tu ne risques rien tant que tu m’obéis au doigt et à l’oeil. ”

Je préparais une seringue de Kétamine et lui administrais directement en plantant une veine de son bras. Une fois la dose donnée, j’empêchais la perte de sang avec un coton et allait déposer la seringue vide non loin du flacon qu’il l’était tout autant. Le problème avec les drogues, c'est qu’on n’en trouvait jamais en d’assez grande quantité… J’attrapais un tabouret et le plaçais non loin de la jeune femme, un bloc notes à la main.

“ N’hésite pas à manifester le moindre problème, cela peut aider dans l’observation. Maintenant, profite de ton moment ”

L’idée était à présent de voir l’intensité des effets sur cet hybride ainsi que sa durée. Je ne m’avançais pas sur la question de savoir ce qu’elle allait voir et comment elle l’interprèterait car je n’aurais de toute manière aucune réponse, à part si je lui laissais la possibilité d’écrire.

“ N’oublie pas une chose : je veux que tu gardes en tête la moindre chose que tu peux ressentir. Si tu t’en sors bien alors peut être que tu ne crèveras pas de faim dans ce sous sol, à toi de voir ce que tu préfères. ”


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Invité
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Mar 12 Déc - 12:50

 

 
Pour la science ?
FT Edward

 
  "L'amour peut commencer en un regard ... d'autre demande de la torture"

 
Tu ne voyais rien… le noir complet… enfin seul une petite lumière parvenait à se glisser sous le bandeau et encore… c’était vraiment faible. Tu avais toujours aussi peur… Pourquoi cela t’arrivait à toi ? Tu te crispas alors en sentant une aiguille percer ton bras et tu pouvais sentir un peu de ton liquide vermeil quitter ton corps. Tu essayais de te calmer doucement, tu panique tellement que tu commences à avoir peur du noir… Génial.

Tu n’eus pas d’autre choix que de flipper encore plus aux paroles de ton kidnappeur… Ne plus revoir ton maitre ? Etre sa propriété ? Aucune plainte ? Tu tremblais … pourquoi il faisait ça ? Tu avais si peur de ce qu’il allait te faire subir… Sa voix te faisait peur, étant autoritaire et forte, voulant bien te montrer qu’ici le maitre des lieux et de ton corps c’est lui. Tu tremblais de peur encore et encore, sentant ton cœur s’emballer sous cette peur, tu sentais la main glacer de ton ‘’maitre’’ sur celui-ci d’ailleurs… il pouvait s’apercevoir que ta peur était bel et bien présente.

Tu sentais encore les larmes couler le long de tes joues et la bave couler aussi sur le coter du au baillons qui ne servait techniquement a rien vu qu’il n’y avait aucun son à étouffer… Tu le sentais s’éloigner et entendais plusieurs flacon s’entrechoquer dans le silence de la salle, ça te brisais presque les tympans. Tu essayais de rester de marbre bien que tes oreilles qui c’était décoller plus tôt revinrent se plaquer sur ton crane. Tout un tas de question se bousculait dans ta petite tête. Puis ces mots interrompirent tes pensées, venant te glacer le sang… l’expérience ? De quoi parle-t-il ?!

La réponse à ta question ne tarda pas… Tu sentis de nouveau une aiguille percer ton bras mais cette fois-ci c’est un produit qui vient être injecté et non de ton sang prélever. Tu tremblais de peur… qu’est-ce que cela allait faire ? Tu entendis l’homme attraper un tabouret pour s’asseoir non loin de toi, tu pouvais sentir sa présence. Tu te crispas en sentant le produit se propager dans tes veines, tu n’arrivais plus à bouger pendant quelque seconde avant sentir tout tes muscles se cambrer, comme si tu n’arrivais plus vraiment à les tenir en place.

Tu écoutas ton agresseur et hocha comme tu le pouvais ta tête et te concentra mais…. La peur te bouffe … Tu sentais le produit commencer à faire effet, tu ne vois plus de lumière… tout est horriblement sombre… tu te vois toi… devant la scène de meurtre de tes parents… te voyant couverte de sang avant que les têtes de tes parents décéder ne se tourne et te cris :

« Nous sommes morts par ta fautes !! FILLE INDIGNE ! »

Tu n’y étais pour rien... Nan … tu n’étais juste pas arrivé à temps… comment aurais tu pu savoir qu’ils allaient se faire tuer ?! Nan… rien n’est de ta faute… Tu entendis la voix de Seiichi derrière toi, tu te tournas alors et le regarda… Il s’avançait vers toi avec cet air enragé, grognant que tout était de ta faute… tu le voyais doucement perdre sa peau, devenant un être fais de chaire à vif et dégoulinant de sang avant de t’attraper en hurlant :

« TA FAUTE »

Et disparaitre… Tu regardais autour de toi… qu’est ce qui se passe ?! Tu n’y comprends rien… Tu as cette impression de rêve mais que tout est aussi réel … Pourquoi tout ça se passe … tu sens tes poing se serrer et te crisper à chaque mot ou chaque chose te faisant peur. Tu essayais de te calmer, te voyant te recroqueviller sur toi-même alors que tu voulais te laisser tomber en arrière, tu fus arrêter par des barreaux métallique, comme ceux de l’animalerie … Tu te voyais toute petite dans cette cage quand un homme s’approcha, tu ne voyais pas son visage mais de toi-même tu reconnaissais ton maitre, tu agrippa les barreaux et voulu crier à ton maitre de te faire sortir… il s’arrêta devant ta cage avant de se baisser et dévoiler un visage bruler et en sang… Tu repensais alors au repas que tu avais laissé sur le feu, ne te doutant pas que ton agresseur avait étant le gaz… Tu reculas d’un bon alors que le bras de ton maitre traversa la cage et t’attrapa au col et te souleva, faisant disparaitre la cage :

« Tout est de ta faute ! Meurs ! »

A ces mots tu sentis ton cœur se serrer et s’accélérer… tu crevais de peur … putain… combien de temps cela va-t-il durer … tu vas finir par crever d’une crise cardiaque, tu sentais ton cœur s’emballer à toute allure… ça te faisait même mal, tu n’arrivais plus à penser comme il faut … a vrai dire tu ne sais plus où tu es… Quel jour nous sommes… l’heure qu’il peut être … ce que tu fais ici … Cela faisait bien une vingtaine de minutes que tu commençais à te sentir mal… tu avais aussi cette envie de vomir face à tes hallucination juste horrible… le cœur s’emballais toujours autant alors que tu essayais de te calmer … Tu sentis pourtant doucement tout ce calmer… tu te sentais légère et ton cœur se calmais…

Apres quelques secondes, tu sentis le bandeau être retirer et une voix te dire que tout était fini et qu’il avait à présent besoin de savoir ce que tu avais vu… Il te détacha alors doucement les poignets puis le cou pour te donner un carnet avec un crayon, les yeux mi-clos… tu attendis quelques secondes pour pouvoir écrire quelques choses de claire. Tu sentis aussi tes chevilles être libérer doucement. Tu commenças à décrire ce que tu avais vu sur la feuille :

« Je me voyais … comme si je n’étais pas moi … devant la scène de meurtre de mes parents, moi couverte de sang et leurs tête se sont tourné pour me dire que leurs morts étaient de ma faute… puis quand je me suis retourné j’ai vu mon grand frère avancer vers moi avec un visage méchant et sévère, me répétant que tout était de ma faute, plus il avançait plus sa peau tombais au sol pour montrer un visage à vif et coulant de sang. Par la suite je me suis recroqueviller sur moi-même avant de me retrouver dans une cage comme à l’animalerie et la personne qui m’a adopter approchais mais je ne voyais pas son visage jusqu’à ce qu’il se baisse. Une fois son visage a la lumière j’ai vu qu’il était bruler et en sang et m’a attraper au col en traversant la cage pour me dire que tout était de ma faute encore une fois et que je devais mourir. Ensuite plus rien… juste du noir… »

Tu avais tout dit sans oublier le moindre détail… Tu sentais tes muscles te faire mal, tu lui redonnas alors le carnet en tremblant, commençant à avoir froid et faim… Tu attrapas tes jambes et te recroquevilla sur toi-même de nouveau en attendant… tu n’avais même plus la foi de fuir de toute manière il te rattraperait et te le ferais regretter. Tu tremblais en espérant qu’il te nourrisse et te donne une couverture alors qu’il lisait ce que tu venais d’écrire en silence…


 

 
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Invité
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Jeu 14 Déc - 16:27


Pour la science!



Je ne doutais en aucun cas de la coopération du sujet. Il était évident, même pour un imbécile, que résister ne ferait qu’aggraver les choses. Une fois les premiers effets visibles, je pris des notes en mesurant son rythme cardiaque et autres signes vitaux qu’enregistraient mes détecteurs non loin. Les réactions prirent une toute autre ampleur au bout d’une vingtaine de secondes, menant la jeune hybride à contracter ses muscles et tenter de s’agiter en tous sens. J’attendis jusqu’à ce que sa tension atteigne le seuil critique que je m’étais fixé avant de lui administrer un calmant mélangé à un petit cocktail de vitamines qui lui permettrait de faire redescendre son rythme cardiaque et de s’arracher à ses rêves.

Une fois de retour à la réalité, je détachai ses membres et lui tendis de quoi écrire pour lui permettre de me faire un ressenti de ce qu’elle avait vécu et lu le résultat en silence. C’était un bon début, j’annotais quelques détails supplémentaires sur mon carnet, indiquant la dose utilisée et des mesures relevées sur l'électrocardiogramme. Une fois toutes les informations notées, je déposais le carnet sur le bureau avant de me tourner vers l’hybride. Celle ci s’était recroquevillée sur le siège avant de ne plus bouger le moindre orteil. Parfait, cela allait me faciliter la vie, je pris une voix autoritaire en m’adressant à elle:

“ A présent, lève toi, je vais te conduire à ta chambre ”

Le sujet se leva sans oser me regarder, la peur était plus que lisible dans son attitude. Je pris la direction de la porte et l’ouvris avant de tourner la tête vers elle.

Dépêche toi, je ne tolère pas les esclaves qui trainent la patte ”

La jeune femme s’approcha de la porte et j’attendis qu’elle passe pour la faire claquer doucement derrière moi. Ma main vint l’attraper à la nuque, non pas de manière brutale, mais simplement pour lui signifier que je gardais le contrôle de ses déplacements. Je la guidais ainsi jusqu’à une autre porte d’aspect robuste que j’ouvris devant elle. Il s’agissait d’une petite pièce aménagée comme une chambre à l’aspect très spartiate. Dans un coins, un lit assez simple avec une fine couverture et un coussin, de l’autre, des toiletets assez simples et un imposant broc d’eau posé sur un meuble qui semblait avoir vécu. Le tout était illuminé par deux lampes murales diffusant une faible lumière et rendant chaque ombre particulièrement inquiétante.

Cela ne se voyait pas ainsi, mais je savais que les murs avaient été raclés par les ongles d’anciens locataires qui avaient peu à peu perdu la tête. Cette “chambre” avait bien sûr servit de nombreuses fois, à un tel point que les aménagements souterrains que j’avais demandé à faire pour y apporter l'électricité et un minimum de ventilation avaient été largement rentabilisés. Je forçais la jeune femme à entrer dans la cellule d’une pression de ma main sur sa nuque tout en restant dans l’encadrement de la porte pour parer à toute tentative de fuite.

“ Voici ta nouvelle chambre, je compte sur toi pour ne pas la dégrader, autrement tu auras affaire à moi. C’est compris? Soit une gentille petite esclave et attend ici que j’aille te chercher de quoi te nourrir, on reprend d’ici quelques heures. ”

Après avoir annoncé sa prochaine sentence, je refermais la porte à clef et retournais à mon laboratoire pour tout remettre en ordre. Je conservais les notes prises et attrapais l’éprouvette de sang pur prélevé avant de l’avoir drogué. Une petite dizaine de minutes plus tard, j’ouvris la porte de la cellule sans fenêtre de mon esclave, un plateau à la main.

“ Voici ton repas ”

Je déposais le plateau à terre, ce dernier était composé d’une assiette où fumait encore un riz au curry et quelques tranches de pain. Une simple cuillère de bois était déposée à côté de l’assiette.

“ Reprend des forces, je ne veux pas d’une faible hybride pour la suite de mes recherches. ”

Je déposais le carnet de l’hybride à côté du plateau et m’éloignais d’un pas, mesurant ainsi à quel point elle était effrayée par ma présence. Mon visage montrait clairement que j'attendais qu'elle s'approche et que je ne partirais en aucun cas avant.


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Ven 15 Déc - 12:00

 

 
Pour la science ?
FT Edward

 
  "L'amour peut commencer en un regard ... d'autre demande de la torture"

 
Tu restais recroqueviller sur toi-même durant de longue et insupportable seconde … Tu restais ainsi sans bouger d’un pouce… tu ne voulais pas t’attirer plus d’ennuis. L’homme lisait en silence ce que tu avais écrit sur le carnet et prenais quelque note sur son propre calepin. Tu attendais sagement les prochains ordres de l’homme… qui ne se firent pas attendre bien longtemps. Il te demanda de te lever, tu ne te fis pas attendre et descendit comme tu le pouvais sans te faire mal, commençant à grelotter suite à la baisse d’adrénaline… puis ta maladie était encore là pour te faire chier.

Une fois descendus de cet engin du démon, tu passas tes mains sur tes bras, tremblant de froid et allant vers la porte quand il te fit la remarque qu’il n’aimait pas les ‘’esclaves qui traine la patte’’, avant que la main glacé de ton agresseur ne te fasse largement frissonner mais bizarrement il y avait un coter rassurant … ?! UN COTER RASSURANT ?! NANAKO SERAIS TU EN TRAIN DE DELIRER ?! Tu ne peux pas trouver ça rassurant !! Cet homme ta droguer sans aucune forme de pitié et te parle comme si tu étais un simple objet créer pour son bon vouloir ! Tu avançais alors avec son aide tout en essayant de rassembler tes pensée rationnel… tu ne pouvais pas fuir et tu en étais consciente… mais ne valait-il pas mieux se faire tuer que subir ces expériences ? Tu mourrais en gardant tes promesses de Miko intacte… Tu pourrais rejoindre Seii et tes parents afin de t’excuser…

Il te fait marcher quelque minute, tu réfléchissais toujours a quoi faire… mais tu n’eus plus le choix quand il te fait arrêter devant une porte massive et robuste… Elle te fait peur. Tu regardes la main de ton maitre l’ouvrir et regarde par la suite la pièce… une petite chambre loin d’être luxueuse… presque miteuse a vrais dire… un lit et un toilette… rien de bien … extraordinaire mais tu t’attendais à quoi ? A une magnifique chambre avec vue sur la mer ?! Nanako soit réaliste… Tu as atterris en enfer.

Tu entras alors à sa demande et il te fit bien comprendre que tu devais être sage, exemplaire… Peut-être que tu obéissais aveuglement a tout ce qui te demande il sera plus… doux ? Gentil ? Patient ? Enfin… ta décision est prise, tu vas faire comme avec ton ancien maitre, tu obéiras sans discuter pour essayer de le rendre gentil. Il te dit aller chercher ton repas, fermant la porte derrière lui, il n’y a que deux petite lumière assez faible… tu pries juste qu’il n’y a pas de petite bête ou quoi dans cette pièce mais a première vu non, une fois la porte fermer, tu te précipites vers le lit et attrape la couverture pour la passer sur tes épaules et te blottir à l’intérieur, reprenant doucement chaud, le froid te gênais pas spécialement mais il te gênais plus quand tu es nue… il ne t’avais pas rendu tes vêtements et ça m’étonnerais qu’il te les rende de sitôt.

Apres une bonne dizaine de minutes à te réchauffer dans la couette, tu entendis une clef se glisser dans la serrure de la porte et la poignée s’abaisser, tu compris rapidement que ton repas était arrivé, tu fis un petit sourire alors qu’il déposa le plateau au sol, une assiette et du pain y étais disposer, mais ça phrase t’interpella… prendre des force ? Soit… tu le regardas un peu avant de poser la couverture sur le lit et t’avancer tête baisser vers lui et te pencha pour attraper ton carnet, tu souris un peu et retrouve une page ou tu avais déjà écrit un :

« Merci »

Et le montre a ton agresseur avant de laisser le carnet tomber au sol et tu ne sais pas pourquoi, tu avanças vers lui sans aucune crainte et viens poser ta tête ainsi que tes mains sur son torse en fermant les yeux et resta quelques seconde contre lui, il n’avait pas l’air de réagir… tant pis, tu reculas doucement avant de te mettre à genoux devant le plateau avant de lié tes mains et fermer les yeux, remerciant intérieurement dieu pour ce repas, comme d’habitude quoi avant de te mettre à manger… cela te remplissais bien l’estomac, tant mieux. Maintenant reste à voir ce qui te réserve.


 

 
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Invité
Invité
Mar 19 Déc - 11:39


Pour la science!



Qu’allait elle faire? Je devais avouer que la situation me rendait curieux. Non pas que je n’avais pas d’expérience dans ce genre de situations, ce n’était pas le premier sujet test que j’enfermais ici et, je dois bien l’admettre, je me prêtais à la même observation à chaque fois. Quelle serait la réaction du cobaye après la première expérience?

Je me souviens d’un sujet d’expérience, un petit humain que j’avais entaillé pour étudier la structure musculaire d’un bras humain, il était resté prostré dans le coins le plus éloigné de la porte et criait à mon approche. Un autre sujet avait essayé de me tendre un piège en m’attendant derrière la porte. Le bon point du second, c’était qu’il avait bien moins crié que le premier…

Qu’allait elle faire?

La petite hybride vint récupérer son carnet, la tête basse, et commença à griffonner quelque chose. Elle semblait calme, parfait, je détestais les expériences qui font trop de raffut. Non pas qu’elle puisse crier ou quoi, mais quand on était effrayé, on trouvait toujours de quoi faire du bruit pour tenter de faire fuir l’objet de sa peur. C’était un instinct animal persistant chez les humains…

Elle notait donc quelque chose dans son carnet sans montrer sa peur. Je m’attendais à des questions où à ce qu’elle me supplie, mais non, elle me remerciait simplement. Bien évidemment, la seule chose qui était digne de remerciements était le repas, je ne m’attendais pas à ce qu’elle me remercie pour l’enlèvement, bien que cela aurait été un retournement amusant. J’aime le drama, c’est un fait, et kidnapper une hybride emprisonner, même si ce n’est pas mon délire, avait une certaine aura teintée d’ironie. N’était ce pas ainsi que se déroulaient les histoires? Avec le preux chevalier délivrant la princesse? Oui, ce sont des pensées délirantes, mais il faut bien un peu de merveilleux dans la vie. Revenons à notre situation.

Situation qui avait d’ailleurs bien changé. Je n’avais pas fait attention, mais à présent, je sentais une présence chaleureuse contre moi. L’hybride avait bougé pour venir enlacer mon torse quelques instants. Je ne bougeais pas vraiment. L’action avait été étrange et elle semblait repartir déçue. Cherchait elle à s’attirer mes faveurs ou réclamait elle simplement de l’affection? Dans les deux cas, c’était une bien étrange manière de faire. Le point que je retins, c’est qu’elle semblait s’être faite à l’idée qu’elle passerait le reste de sa vie en tant qu’esclave.

La jeune Nanako repartit en direction du plateau repas et commença à manger. Je refermais lentement la porte après avoir indiqué que je revenais. Lorsque la porte s’ouvrit à nouveau, je tenais en main un collier noir avec une sorte de dispositif accroché.

“ Une fois ton repas fini, met toi à genoux sur le lit. ”

La petite hybride termina son repas et vint s’installer sur le lit. La scène paraissait irréelle tant la scène se passait en silence. Je regardais la jeune femme dans les yeux alors que le cuir sombre du collier se plaquait contre sa peau. C’était toujours un plaisir de prendre son temps pour bien marquer son territoire. J’attrapais le menton de la jeune femme et lui faisais tourner la tête sur les côtés pour m'assurer que le collier était bien en place. Mes doigts encore en contact avec son menton, je lui expliquai les choses.

“ Ce que tu as autour du cou, plus qu’un signe de possession de ma part, est un collier électrique. Si jamais tu ne fais pas ce que je te dis ou que tu as un comportement qui ne me plait pas, j’aurais simplement à appuyer ici. ”

Alors que je parlais, je sortais une petite télécommande et pressais un des boutons. Le collier déclencha une infime décharge électrique. Pas assez pour faire mal, ma démonstration n’était pas faite pour cela, mais pour bien lui faire comprendre que je ne plaisantais pas.

“ Tu ne devras bien sûr jamais le quitter de ta propre initiative. Je suis le seul à pouvoir te l’enlever, est ce clair? ”

Une fois la confirmation de l’hybride reçue, je m’éloignais en lui ordonnant de me suivre. Ma main referma la porte de sa chambre derrière elle et je l’emmenais dans la pièce où s dressait toujours la croix sur laquelle elle s’était réveillée. Cette fois ci, je lui désignait une sorte de chaise en métal dont les pieds et les accoudoirs étaient munis de menottes.

“ Assied toi là, tout de suite. ”

Le métal était froid et je ne doutait pas qu’elle allait vouloir protester, à la première hésitation de sa part, j’attrapais son bras et la forçais à s’asseoir malgré les plaintes silencieuses de l’hybride. Les menottes se refermèrent rapidement sur ses poignets et ses chevilles.

“ Bon, une heure est passée depuis ton injection, je vais voir à quel point la toxine a été éliminée, ne bouge pas. ”

J’attrapais une seringue et prélevais un échantillon de sang que je mis tout de suite à analyser. Le temps que le processus se passe, j’attrapais un carnet et un crayon que je posais sur les genoux de l’hybride et détachais une mains.

“ Bon, maintenant que les impératifs sont faits, je me sens d'humeur à répondre à quelques unes des questions que tu dois surement avoir. ”


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Mer 3 Jan - 14:29

 

 
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FT Edward

 
  "L'amour peut commencer en un regard ... d'autre demande de la torture"

 
Tu n’avais pas le choix … ta façon de penser … ta façon d’agir allais être … corrompu par cet homme et tu le savais… il n’avait pas l’air humain de toute manière … il pouvait être tout sauf humain. Son aura étais même très étrange ... Tu ne l'aimais pas trop mais tu allais devoir t’y faire, si tu veux qu’il te laisse sortir de cette pièce tu allais être obligé d’être une gentille fille obéissante.

Ton étreinte n’avais eu aucun effet … cela te rendais bien triste … tu aurais espéré un petit geste d’affection ou juste une marque de remerciement mais nan… rien … que dalle … Nada. Tu te mis alors à genoux devant le plateau, une légère prière avant de commencer à manger alors que ton « maitre » sors de la pièce et ferme la porte en te notifiant qu’il revenait. Tu mangeais doucement en son absence, ne voulant pas t’étouffer bêtement.

A son retour, l’homme avait un collier étrange en main, un léger dispositif accrocher à celui-ci. Il t’ordonna alors d’aller te mettre à genoux sur le lit une fois ton repas terminé. Tu fini alors aussi vite que possible ton assiette sous le regard inquisiteur de ton nouveau maitre et te leva finalement pour obéir et te mis à genoux sur le lit, le dos et la tête droite, ne voulant pas paraitre faible.

Tu attendais doucement et sagement que ton nouveau maitre s’approche de toi, tu sentis le cuir froid se plaquer sur ton cou tout aussi froid, tu rougi un peu quand il attrapa ton menton pour bouger ton visage afin de voir si le collier avait bien imprimé la forme de ton cou. Il te regarda alors dans les yeux, tu grelotais un peu mais rien d’alarmant, il t’expliqua alors ce que signifiais le collier, tu restes les pommettes de couleur cramoisie et le regarde aussi dans les yeux, tu supposais qu’il n’aimait pas la lâcheté et tu ne lui désobéirais pas, tu ne lui montrer pas non plus ta peur… Il te fit une démonstration de ce que faisait le collier mais de façon douce, histoire de ne pas te faire mal, après tout tu avais obéis a ces ordres jusqu’à maintenant.

Il t’ordonna alors de le suivre, tu ne discutas pas et sortis de la pièce sans aller trop vite, une fois la porte fermer derrière toi, tu attrapas inconsciemment la main de ton kidnappeur et le suivis jusqu’à la salle de ton réveil. Tu avais pu te reposer un petit moment, tu avançais alors en tenant la main glacer de ton maitre et quand il te désigna une chaise en métal étrange, tu avalas doucement ta salive, tu savais que tu allais avoir froid mais tu savais surtout que se ne serais pas le pire… le pire reste à venir.

Tu lâchas doucement la main de ton maitre et alla t’asseoir sans discuter sur la chaise, tu te mis à greloter mais tu n’avais pas le choix alors tu ne le montrais que peu. Une fois sur la chaise, il attacha tes poignets et tes chevilles à celle-ci. Il te fit une petite prise de sang, tu ne te plaignis même pas, tu serrais les dents, voulant être forte. Une fois qu’il eut vérifié ce qu’il avait à vérifier, il revient vers toi et posa un carnet et un crayon sur tes genoux avant de détacher une de tes mains en te proposant de pouvoir répondre à tes questions. Tu attrapas doucement le crayon et commença à écrire :

«- Pourquoi m’avoir emmené avec vous ?
-Pourquoi je dois rester nue ?
-Quel est votre prénom si j’ai le droit de le connaitre ?
-Un jour je pourrais sortir de cette salle ou de ma chambre ?
-Dois-je vous notifier mes maladies ?
-Vous allez me tuez quand vous en aurez fini avec moi ?
-est-ce que je pourrais avoir des vêtements chauds pour dormir ? S’il vous plait. »


Des questions plutôt étranges pour quelqu’un qui vient à peine d’être kidnapper et emmener loin de son vie petite vie tranquille. Tu tremblais un peu mais c’était dû au froid, ne montrant pas à l’homme que tu avais peur… nan ! Tu n’avais pas le droit de te montrer faible !


 

 
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Sam 6 Jan - 19:26


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La jeune hybride s’était assise et avait, sans broncher, subit la prise de sang. Finalement, c’était une esclave qui ne faisait pas de vagues et j’appréciais cela. Après le repas, un événement étrange avait été constaté dans son comportement. La petite Nanako s’était rapprochée de moi et avait pris ma main, comme si elle avait eu besoin d’un contact, même glacé, pour traverser le couloir. ce qui me parut étrange, c’était qu’elle associait donc ma présence à une idée de sécurité relative. Intéressant. Il fallait que je m’occupe de l’examen psychologique plus tôt que prévu.

Une fois la jeune hybride installée, je la laissais poser ses questions tout en attrapant une chaise pour s’installer à l’envers juste devant elle. De là où je me trouvais, j’avais une vision bien embarrassante du corps de la jeune miko. Ce n’était pas voulu mais la vue était agréable et cela pouvait aussi décontenancer la petite Nanako. Tout ce qui pouvait faire réagir la jeune fille était prétexte à étude, surtout si je commençais à m’intéresser à son état mental.

Je pouvais déjà déduire beaucoup de chose concernant les priorités de la jeune femme. C’était amusant à quel point le choix instinctif des mots pouvait vous renseigner sur l’état d’esprit de votre interlocuteur, surtout lorsque vous le preniez de cours. Pas une fois le mot “enlèvement” ni l’un de ses synonymes n’avait été utilisé. Je doutais bien qu’elle n’avait pas fait cela par soucis de bienséance et je ne voyais pas en elle le genre de personne à vouloir se voiler la face. Cela voulait donc dire qu’elle s’était faite -plutôt rapidement, j’en conviens- à l’idée qu’elle ne verrait sans doute plus jamais son ancien maître. Faculté d’adaptation rapide? Peut être. Peut être aussi la violence des évènements l’avait assez ébranlé pour que sa conscience change ses perspective afin de la préserver de la folie.

Une autre chose à noter était le côté pratique de son raisonnement. Elle ne tentait point de demander des choses irréalisable, en soit ma clémence, mais essayait de se “prêter au jeu” tout en demandant ce qu’il fallait pour survivre dans son nouvel environnement. Un doute me vint alors, devais je montrer un semblant d’humanité pour avoir son entière coopération ou bien continuer sur ma lancée et voir à quel point sa faculté d’adaptation peut se développer? La question ne me laissa pas silencieux très longtemps, la pire des choses était de montrer la possible existence de doutes de ma part, il fallait continuer à paraître implacable.

“ Concernant ta situation actuelle, tu es enfermée ici pour le bien de mes recherches sur l’espèce vulpine que tu représentes. Je t’indique donc par la présente que je n’ai pas d’intérêt à te tuer, à part dans un but final de vivisection, mais ce n’est pour le moment pas au programme. Il y a bien sûr le risque d’un malencontreux ratage dans une tentative de t'appréhender si jamais tu essaie de t’échapper, je compte donc sur toi pour ne jamais te retrouver face à ce risque. ”

Il aurait été très inconvenant de la menacer directement. J’avais beau être un chasseur, intimider plus que nécessaire une proie n’était pas de mon goût. Les bras croisés sur le dossier de la chaise, je laissais à l’ancienne miko le temps d’assimiler ces informations avant de continuer.

“ Concernant mon identité, je me nomme Edward Bathory, mais je compte sur toi pour m’appeler plus particulièrement “Maître” ou “Monsieur” pour des raisons que tu devrais connaître. Il serait en effet sage de me lister tes maladies, intolérances et autres allergies. ”

Venaient ensuite les demandes plus domestiques, là il fallait déterminer un code de conduite à appliquer envers la jeune femme. Pourquoi ne pas profiter de cela pour nous donner une sécurité supplémentaire quant à son allégeance?

“ Il est vrai que le sous sol n’est pas un endroit agréable à vivre malgré les aménagements qui ont été faits. Pour le moment, tu restes nue car j’ai besoin de voir à quel point ton côté animal peut s’adapter à changement de milieu vie. Il est bien plus simple de faire des constatations en temps réel et puis tu ne risques pas de rencontrer qui que ce soit d’autre qui puisse te voir ainsi. Des vêtements te seront fournis en fonction de ton comportement et du progrès de mes recherches. Il va de soit que cela vaut aussi pour les fournitures pour le sommeil et pour tes possibilités de déplacement. Si ta conduite est exemplaire, alors je pourrais réfléchir à une réaffectation de ton lieu de vie dans mon lieu d’habitation. ”

Je concluai donc sur une chance pour l’hybride d’améliorer la qualité de vie en fonction de son mérite afin de bien lui faire comprendre que la balle était dans son camp.

“ Pour ce qui sera de ton comportement, je souhaite que tu te prête de bonne grâce à tous mes examens et que, d’ordre général, tu obéisses à toutes mes demandes comme il est d’usage pour un esclave d’agir. Je te permets de me faire des propositions dans les domaines de ton choix tant que cela soit raisonnable. Bien sûr, tu dois te douter que le collier que tu portes sera toujours actif, accommode toi en au plus tôt. ”

Je tapotais doucement sur le dossier de la chaise avant de finalement demander.

“ Y a t il autre chose que tu voudrais demander ou dire? Dans le cas contraire, je pense que nous en avons terminé pour cette séance. ”


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Dim 7 Jan - 13:44

 

 
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Les questions que tu avais posé étais banale … Mais importante pour toi… A aucun moment tu n’avais notifié l’enlèvement mais au fond de toi tu le savais… Ce qu’il venait de faire était un crime. Tu ne te voilais pas la face, ce n’étais pas ton genre mais tu sais … Tu sais qu’il vaut mieux être obéissante pas que tu aies peur de la mort… mais tu voulais lutter pour montrer que malgré ta petite taille, ta maladie, ton physique faible tu ne l’est pas ! Tu te battras jusqu’au bout pour le prouver. Tu n’aimes pas paraitre faible et c’est pour ça que tu avais toujours caché tes faiblesses à ton ancien maitre malgré qu’il connaisse l’existence de ta maladie qui te pourrissait la vie par moment.

Alors que tu venais de finir de noter tes questions, montrant le carnet à l’homme, tu le regardais réagir à tes questions… En le regardant de plus près, tu le trouve beau garçon. C’est dommage qu’un si beau physique soit gâché par tant de « cruauté » si on peut appeler ça comme ça. Tu savais qu’il ne te voulait pas vraiment de mal… Nan il avait juste besoin de toi pour des renseignements sur ton corps … Tu baissais finalement la tête quand lui la releva et commençais à répondre à tes question, répondant un peu dans le désordre mais tu l’écoutais sans broncher, assimilant tout comme il faut, il marqua gentiment une pose pour te laisser tout comprendre comme il faut.

Apres ça, il te donna son identité… Edward … Bathory ?! Cela te rappelais une histoire que tu avais lu dans un livre en allant à la bibliothèque mais tu ne réagis pas à son nom de famille, tu préfères l’écouter et poser de nouvelle question par la suite. Tu l’écoutas finir alors qu’il te demande si tu as d’autre question, en premier lieux tu lui écris tes maladies et quelques questions plus … importantes à tes yeux :

« Pour mes maladie, je suis albinos j’ai donc de grande difficulté à me réchauffer comme vous devez le sentir… » En effet … ta peau était presque plus froide que ton maitre qui lui n’avais pas l’air malade… mais il cachait bien son jeu « Et je suis aussi atteinte du syndrome de Stockholm et je suis allergique à la codéine. »

Tu lui montras alors le carnet, les articulations de tes doigts était même devenue blanche à cause du froid que tu endurais sans rien dire, tremblant un peu de froid alors qu’instinctivement, ta duveteuse vient se poser sur tes hanches, voulant te réchauffer même si tu savais que ça n’aurais pas beaucoup d’effet voir aucun… Une fois que ton maitre eu finit de lire ce que tu venais d’écrire, tu repris le carnet et tourna un page avant d’écrire :

« J’ai encore quelques question :
-Vous comptez faire quoi de moi par la suite ? (en terme d’expérience) si je peux savoir bien entendu maitre.
-Qu’est-ce que vous êtes ? Un vampire ? (je ne veux pas vous offenser … je suis juste curieuse pardonnez ce défaut)
-Pourrais-je avoir un peu de chauffage ou une couverture chaude pour mon prochain repos s’il vous plait ? J’ai vraiment très froid … »


Apres avoir fini d’écrire en grelottant un peu, tu montras de nouveau le carnet en le soulevant à l’aide de tes doigt fin et glacer … ayant peur de te faire réprimander pour ces questions mais tu ne le montrais pas, tu ne voulais pas qu’il voit ta peur…


 

 
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Dim 7 Jan - 23:11


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Patient, je pouvais l’être. C’était une vertu qui pouvait venir avec le temps et l’expérience, deux choses que j’avais à revendre pour le coup. Je notais mentalement les informations qu’elle m’indiquait. Le coup de l’albinos était facile à diagnostiquer mais je la laissais parler sans la couper. Il aurait été tout à fait indélicat de ma part de lui poser une question et de ne pas écouter sa réponse, même avec la différence qu’engendraient nos rôles distincts.

Je notais aussi rapidement qu’elle tentait par tous les moyens de se couvrir. Il serait intéressant de savoir jusqu’à quel point elle pouvait supporter le froid, mais je craignais que la prise de drogue plus tôt fausse le résultat. Sa faiblesse quant au froid fut confirmée par ses dires, il fallait préserver pour le moment sa santé. Lorsqu’elle me révéla ses nouvelles questions, je me levais tout en la rassurant sur plusieurs points.

« Tu es pardonnée pour ta curiosité, avant toute chose, réglons se problème de froid. »

Je quittais ma veste en tweed et la posais sur la jeune femme. Il n’y avait plus de raison pour la laisser ainsi et je tenais à éviter un maximum les effets sur son corps que je n’avais pas prévu. Une fois ce problème réglé, j’avançais ma chaise de la moitié de la distance qui nous séparait avant de m’asseoir de manière bien plus conventionnelle.

« Le détail des prochaines expériences est à ma discrétion seule, l’élément de surprise fait partie des variables que je souhaite conserver. Je souhaite aussi conserver secrète ma nature et, si d’aventure la question se pose encore, je tiens à ce que le sujet soit amené par ma personne. Est-ce bien clair ? »

Sous entendu : la curiosité est une bonne chose tant que ce n’est pas un sujet indiscret. J’espérai que le message soit bien passé. J’attrapais alors le menton de la jeune femme pour scruter son regard d’un air calculateur avant de répondre à sa dernière question.

« Parce que tu as prouvé vouloir mettre assez de bonne volonté à suivre les ordres, je vais voir pour te laisser des couvertures supplémentaires. Après tout il ne faudrait pas que mon hybride tombe malade, n’est-ce pas ? »

Je voyais qu’elle tentait de faire face, de se montrer forte sous son verni de soumission. Manque de chance pour elle, me fournir autant d’informations sur sa personne revenait à me donner autant d’armes pour la soumettre à ma volonté. Sous mes airs de maître soucieux du bien-être de son esclave, je tentais de voir comment apparaissait le syndrome de Stockholm qu’elle avait elle-même mentionné. La vie m’avait plusieurs fois montré que la plus belle des soumissions était l’amour, aussi allais-je l’utiliser pour arriver à mes fins. Mes doigts quittèrent sa peau qui commençait doucement à se réchauffer alors que je me levais avec un air enjoué.

« Voici ce qui clôture notre séance. Puisque je tiens à ce que tu sois un minimum propre, je vais te conduire à la salle de bain pour que tu puisses prendre une douche, ensuite je te reconduirais à ta chambre. »

La jeune femme n’avait pas le choix, mes ordres étaient formels. Je la détachais et la laissais se relever avant de lui indiquer la direction de la porte. Bien sûr, ma main ne quittait pas le bas de son dos pendant le trajet, subtile présence lui indiquant que je ne permettrais aucun écart de sa part. Il n’y avait pas de salle de bain au sous-sol, je ne voyais pas l’intérêt d’en faire aménager une, aussi prenions nous l’escalier montant au rez-de-chaussée. Ce dernier avait la particularité de se trouver entre la partie « Clinique » et la partie habitable du bâtiment, ce qui était assez pratique lorsque j’avais des patients à charge. Nous montions encore d’un étage avant d’arriver à la salle de bain. J’ouvris la porte, révélant une pièce spacieuse et moderne pour l’époque avant de lui désigner la baignoire qui faisait aussi douche.

« Je te laisse te laver, par contre tu comprendras que, à part lorsque tu es dans ta chambre, je me ferais un devoir de garder un œil sur toi. Maintenant va. »  

Mon caractère trop précautionneux pouvait passer pour de la perversité, je m’en moquais assez. Après tout ne l’avais-je pas déjà vu assez nue pour ne plus qu’elle ai à se formaliser de cela ?


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Mar 9 Jan - 11:57

 

 
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Tu sentais tes poils s’hérisser au froid, tu grelottais mais ne le montrant que peu même si tu essayais par tous les moyens possible de faire comprendre à ton maitre que tu avais froid, voulant à tout prix quelque chose de chaud avant d’attraper fro…. Ha trop tard, avant qu’il ne pose la veste qu’il avait prévu de te mettre sur les épaules, un léger « atchoum » viens briser le silence, le nez coulant un peu… La poisse. Tu le regarde alors quand il poser sa veste sur tes épaules et rougi un peu… Tu baissais alors rapidement les yeux, timide…

Rapidement, il commença a répondre a tes questions, te mettant rapidement un gros STOP devant la figure en ce qu’il concerne sa nature, tu n’avais peut être pas vu faux mais a ça demande, tu compris qu’il ne fallait pas en reparler de toi-même et que c’était à lui de te le dire si vraiment il sentais le besoin ou en tout cas l’utilité de t’en parler, tu hocha la tête quand il te demanda si c’était claire, ne voulant pas t’attirer d’ennuis. Rapidement, ton maitre vient passer ces doigts aussi froids que la glace sur ton menton et releva ta tête doucement, te regardant dans les yeux avec un regard aussi glacial que ces doigts, te répondant qu’il allait te trouver des couvertures supplémentaire car tu avais prouvé ta bonne volontiers. Tu lui rendis alors un beau sourire de remerciement.

Il lâcha finalement ton menton doucement et se redressa, te disant qu’il fallait que tu sois un minimum propre, une douche bien chaude ne te ferais pas de mal bien au contraire, elle réchaufferait ta peau de glace. Il t’indique qu’après ça il te reconduirait a ta chambre, sans doute pour pouvoir te reposer un moment, tu éternuas de nouveau dans un bruit sourd. Doucement, il vient alors détacher ta main de sa prison de fer et le reste qui te maintenaient assise et tu te levas doucement. Ton dos … tes fesses …. Tes cuisses…. Tout avait pris un grand coup de froid, la chaise étant restée à la même température qu’au moment où tu t’étais assise.

Il te guida alors jusqu’en haut … Lui qui avait dit que tu ne montrais la haut que rarement … Tu commençais à flipper de rencontrer quelqu’un d’autre dans cette accoutrement, tu agrippais alors les coter de la veste en croisant les bras et marchais doucement, montant les escaliers doucement, sentant la main glacer de ton maitre dans ton dos. Tu avançais sans rechigner, arrivant rapidement dans une grande salle de bain. Il ferma la porte derrière lui et te laisse avancer vers une baignoire servant aussi de douche. Tu le regardais alors parler, te disant que tu pouvais te laver mais qu’il allait rester ici, voulant te garder à l’œil. Tu retiras alors la veste de tes épaules et viens t’incliner légèrement devant lui en la lui redonnant.

Cela te rappelais de mauvais souvenir… les douches en boutique sont glacer et qui plus est … Devant tout le monde, une fois dos à ton maitre, tu avalas difficilement ta salive avant de te tenir au rebord de la baignoire, passant une première jambe dans celle-ci, laissant une vue plus qu’obscène a ton maitre le temps d’une seconde, le laissant entrevoir ta fleur vierge de tout toucher. Tu te penchas un peu en avant, laissant de nouveau à ton maitre la possibilité de tout voir, pour retirer une petite tache noir de ton pied. En te relevant, tu regardais ton tatouage au poignet avant de souffler et de commencer à faire couler l’eau en te penchant encore un peu, laissant couler de l’eau brulante sur ton corps, te relevant, le pommeaux étant accrocher au mur, tu fermais les yeux et passait ton visage sous l’eau en venant mettre tes cheveux en arrière, de profil a ton maitre, il avait la possibilité de tout voir, ton corps au proportion si mignonne… Tu n’y prêtais même pas attention… Tu laissais l’eau couler, te faisant un bien fou.


 

 
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Mer 10 Jan - 11:20


Pour la science!



La jeune femme était glacée malgré l’air la température ambiante assez douce. Il était vrai que les êtres atteints d’albinisme étaient sujet à une baisse de température corporelle assez rapide si non maintenue, mais jamais je n’avais entendu parlé de cas aussi radical. Certes, le contact avec la chaise froide ainsi qu’avec mon corps peu chaleureux avait pu aider à cette baisse de température, j’avais peut être un peu trop surestimé mes calculs concernant cela. Une bonne douche pouvait l’aider à se réchauffer, amis je me demandais si une aide supplémentaire pouvait aussi accentuer le résultat escompté.

Une fois à la salle de bain, je la laissais se diriger vers la baignoire sans la suivre. Elle revint pourtant bien vite pour me donner la veste que j'accrochais derrière la porte. Avant de me retourner juste à temps pour la voir enjamber le bord de la baignoir et m’offrir un spectacle des plus intimes. Je l’avais déjà remarqué, lors de notre rencontre, qu’elle avait un don pour s’exposer sous un jour bien moins chaste qu’elle ne l’était et ce, sans s’en rendre compte. J’avais déjà profité de cela pour la kidnapper. Il serait logique, quoique fort indélicat je l’admets, d’en profiter à nouveau, non?

La jeune femme réitéra l’expérience. Pas une fois non, mais deux. Oh, je n’étais pas homme à succomber si facilement à ce genre d’appel, le temps et l’expérience font apprendre les défaut de l’impulsivité. Elle allait donc s’en sortir, pour cette fois? Rien n’était moins sûr. Moi qui cherchais un moyen de la réchauffer en plus de la douche, je commençais à élaborer un petit plan qui comportait bien des avantages. Alors qu’elle se ressourçait sous l’averse chaude de la douche, je m’approchais lentement, retroussant les manches de ma chemise jusqu’à paraître à quelques centimètres de la baignoire et de son occupante.

“ Tourne toi. ”

Ma voix avait été douce mais ferme, comme une main de fer dans un gant de soie. La jeune hybride se tourna alors, sans doute apeurée et intriguée par mon avancée et le ton de ma voix. Je gardais mon étrange demi-sourire qu’elle avait très bien pu voir lors de son kidnapping comme lors de mes expériences. Cela ne présageait pas grand chose de bon.

“ C’est bien de vouloir rester sous la douche, mais je t’ai demandé de te laver n’est ce pas? Puisque tu as l’air si lasse, je vais t’aider un peu. ”

J’attrapais le flacon de savon non loin et l’agitais doucement devant la jeune femme avant de l’ouvrir et en déposer une partie du contenu dans ma main. Déposant le flacon, je frottais doucement mes mains avant de les poser sur les épaules de la jeune femme avant de commencer à masser sa peau un peu réchauffée peau. Mes mains prirent rapidement une température agréable sous l’effet de l’eau et du mouvement sur son corps. Elles couvrirent les épaules de mousse avant de s’attaquer au ventre de l’hybride.



- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Jeu 11 Jan - 12:05
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Sam 13 Jan - 12:52


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Un sourire sadique se profilait sur mon visage alors que je transformais lentement les vœux qu’avait fait la jeune femme en condamnation.


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Dim 14 Jan - 0:26
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Dim 14 Jan - 12:41


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Le combat intérieur faisait rage dans son esprit, c’était assez amusant de voir ce pavé dans la mare commencer à produire tant d’oscillations. Je n’avais bien sûr pas terminé mais, comme toute vertu que l’on apprenait avec le temps, la patience était un élément clef pour effectuer ce genre de manipulation dans l’esprit des gens. Effectuez un changement brutal et le risque de rejet sera grand, laissez les changements s’opérer petit à petit, de sorte à ce qu’il soit passivement accepté par les cible, et vous aurez gagné alors même qu’ils ne se seraient rendu compte de rien.

Après que je me sois éloigné de quelques pas, soulageant visiblement la jeune femme, j’attendis qu’elle se rince avant de lui passer une serviette. Une fois sortie, je remarquais une petite perle couleur carmin au niveau de ses lèvres. Mes pensées focalisées sur ce minuscule petit point qui aurait pu paraître anodin, je m’approchais lentement de la jeune femme, saisis son visage, avant de répliquer d’une manière assez froide.

«  Sèche toi, rapidement, et suis moi en bas. Je vais m’occuper de ça… »

L’hybride semblait ne pas avoir compris ce qu’il s’était passé, je pouvais bien le voir. Elle resta bloquée quelques secondes, le regard perdu dans le reflet magique de la vitre, ce monde que l’on ne pouvait voir et pas atteindre… Mes pensées s’arrêtèrent quelques instants, un grand silence s’installa dans mon esprit. Cette sensation était étrange, comme une sensation de déjà vue… Je ne pouvais pas me l’expliquer, mais je me souvenais avoir pensé cela, bien longtemps auparavant.  Trop longtemps pour que je puisse m’en souvenir. Allons Edward, reprend toi. Je secouais la tête pour dissiper ces pensées parasites avant d’attraper la veste que je lui avais prêtée. Voyant qu’elle me suivait, je la lui glissais théâtralement sur les épaules.

« Pour ne pas que tu attrapes froid, bien que tu ne le mérites pas vraiment. Et voici le paiement que je me réserve »

Sous cette dernière phrase énigmatique se cachait un geste qui allait surement me valoir un rejet surement monumental, mais qu’importe : Mes doigts se glissèrent dans les cheveux de sa nuque alors que mes lèvres emprisonnaient celle qui, chez elle, était en sang. Le contact fut bref, le temps d’un battement de cœur, juste assez pour me permettre d’aspirer le sang excédentaire qui parlait au niveau de la plaie. Rompant le contact tout aussi vite que je l’avais entamé, je restais une petite seconde à quelques centimètres de son visage, à la regarder dans les yeux. Ma voix était un murmure doux, mais ferme.

« Ne t’avise pas de te faire du mal à nouveau. Tu es à moi et, même face à la mort, je garde jalousement ce que j’ai. »

Attrapant délicatement le poignet de l’hybride, je la menais au rez-de-chaussée, dans la pièce voisine à celle de l’escalier principal. C’était une pièce de la clinique, certes, mais elle était en retrait et il n’y avait aucune fenêtre ni accès sur l’extérieur. Je la fis asseoir sur le fauteuil que je destinai à mes patients avant de revenir avec un peu de matériel. Tout d’abord, stériliser mes mains avec un savon antibactérien. Une fois la chose faite, je demandais à la jeune femme de pencher sa tête légèrement vers l’avant. La plaie était propre, amis par acquis de conscience, je la nettoyais avec une compresse imbibée d’eau oxygénée avant d’en prendre une seconde, sèche pour faire pression sur la plaie et arrêter le saignement.

Bien au moins le saignement n’était pas si important qu’il puisse le laisser présager, maintenant il fallait éviter que cela puisse s’infecter, j’attrapais un petit pot de miel en laissait couler quelques gouttes sur mon doigt avant de l’appliquer délicatement sur les deux côtés de la plaie. Bien trop concentré sur mes gestes, je me désintéressais totalement de ce que pouvait faire l’hybride si proche de mon visage.

«  Laisse le miel agir quelques minutes, cela évitera que la plaie ne s’infecte. »


- Adrenalean 2016 pour Epicode
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Dim 14 Jan - 14:32

 

 
Pour la science ?
FT Edward

 
  "L'amour peut commencer en un regard ... d'autre demande de la torture"

 
Ta tête te faisait presque mal a réfléchir autant… Ton reflet te rappelait à quel point tu avais souffert dans ton enfance… Ces oreilles et cette queue ont été de pire inconvénient que ta maladie… Les enfants passait leurs temps à se moquer de toi… dire que tu n’étais pas normal et que tu devais être une esclave obéissantes sinon on te ferait du mal… C’est peut-être pour ça que tu as toujours été un ange quand il s’agit d’aider ou d’obéir… La peur d’être chassé ? Sans doute… Tu aurais aimé te débarrasser de ces maudits attribut animal que tu aimais et détestais à la fois. Tu baissas la tête à tes propres paroles alors que tu sentais la veste de ton maitre se poser sur tes épaules alors qu’il te dit qu’il ne voudrait pas que tu attrapes plus froid.

Tu rougis un peu à cette attention et baissa la tête avant de sursauter doucement en sentant les doigts de ton maitre glisser entre tes cheveux fin et mouillé, glissant sur ta nuque avant de venir l’espèce d’une seconde, coller ces lèvres froide aux tiennes, venant extraire rapidement le sang qui coulait de ta lèvres, tu ne pus t’empêcher de rougir d’un coup, sentant ton cœur faire un bon énorme dans ta poitrine… Qu’est-ce que c’est …. Ce sentiment ? Pourquoi tu avais cette étrange envie qu’il recommence ? Pourquoi les mots qu’il prononce juste après se bref « baiser » te donne l’impression que ton cœur a été ligoter et qu’il tient les ficelle afin de te tirer vers lui sans que tu aies le moindre mot à dire ? Tu ne savais plus ou te mettre, tu le regardais alors dans les yeux alors que tu sentais ton cœur continuer à s’emballer…

Ton poignet fut rapidement attraper mais avec délicatesse, te tirant doucement jusqu’au rez-de-chaussée. Tu perdais complétement la tête face à lui… tes pensée n’étais plus du tout cohérant… Tu ne pensais plus qu’à ce qui venait de se passer … Ton cœur n’arrivant pas à se calmer, tu le sentais faire des bons énorme dans ta poitrine… Tu avais tellement peur qu’il les entende …. Qu’il se moque de toi face à ce sentiment étrange que tu n’arrivais pas à définir. Tu ne savais pas ce que c’était… Tu avais envie de comprendre et à la fois pas du tout…

Ton maitre te désigna alors un fauteuil destiner au patient avant de te laisser quelque seconde pour aller chercher du matériel, tu t’assis alors calmement et le regarda revenir, il t’indiqua alors de laisse ta tête tomber un avant, il approcha alors son visage du tien et commença à désinfecter un peu la blessure, rien de grave en soit mais il avait l’air de préfère ça plutôt que cela s’infecte et aggrave la chose. Tu rougi alors que son visage est vraiment proche du tien mais tu le laissais faire… Tu le regarde mettre du miel sur ta plaie après avoir relevé la tête, tu t’apprêtais à le lécher, ayant le bout de la langue dessus, tu le retire a ces mots… le miel est quelque chose que tu adore … dommage … tu fis une bouille triste mais tu sursautas un peu… Le doigt de ton maitre couvert de miel t’étais tendu en disant que tu pouvais lécher le miel sur son doigt plutôt que celui qui se trouve sur te lèvres.

Tu rougis alors et leva la main pour attraper la main de ton maitre, laissant son index sortie et ferma les yeux doucement, serrant doucement la main de son maitre et commence à lécher du bout de la langue le doigt couvert de miel de ton maitre…. Cela avait presque une connotation sexuelle… Mais tu t’en fichais royalement … le gout du miel te plaisait temps… te rappelant du gout sucrer… adorant ce genre de chose ... Tu fini doucement de lécher le doigt de ton maitre en le regardant et embrassa son doigt du bout de tes lèvres pour le remercier.


 

 
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Dim 14 Jan - 17:51


Pour la science!



Apparemment, j’avais bien fait de la mettre en garde pour le miel. Si tôt que j’eu relevé les yeux vers son visage, qu’elle allait se lécher les lèvres comme une gamine le ferait. Passé la surprise, je pu voir une certaine tristesse dans ses yeux, plus que ça encore, de la déception. Aimait-elle tant le miel pour outrepasser inconsciemment mes ordres et pour en avoir du regret ? Ce truc était infect, tout juste bon à servir d’antiseptique en médecine naturelle. Soupirant alors, je tendais le doigt encore sucré devant son visage pour lui offrir au moins ce qu’il restait.

« Tient, si cela peut t’éviter de lécher le miel que je t’ai appliqué. Je te préviens, c’est tout ce que tu auras, compris ? »

L’hybride ne se fit pas prier et, très vite, le bout de sa langue vint retirer peu à peu le miel sur mon index. Les commissures de mes lèvres se relevèrent légèrement devant la situation. Oui, à voir la jeune fille lécher ainsi mon doigt, les yeux fermés, le parallèle sexuel n’était même pas à faire remarquer tant il était flagrant. Ses petites mains tenant la mienne, j’avais l’impression de nourrir un petit animal trouvé dans la nature. Cela aurait surement réchauffé mon cœur si je n’avais pas autant de doutes sur son existence. Une fois la « récompense » terminée, je rangeais rapidement les affaires sorties avant de lui faire signe de se lever.

« Allez, il est temps de redescendre à présent. »

Nouvelle expérience, je me trouvais proche de la porte du fond, de l’autre côté de la sortie menant à la clinique. Allait-elle tenter quelque chose ? Bien sûr, avec mes facultés je ne doutais pas de mes chances de la rattraper si elle tentait quoi que ce soit, je voulais simplement voir à quel degré elle se sentait naturellement mon esclave. La kitsune se leva à mon appel et, comme si cela avait été un automatisme, s’arrêta face à moi. Je glissais mes doigts derrière sa nuque avant d’ouvrir la porte pour la laisser passer.

Une fois la porte passée, e la refermais à clef avant de conduire la jeune femme jusqu’à devant sa chambre. Je lui fis face après avoir ouvert la porte de la cellule, un air amusé au visage. Elle allait une nouvelle fois rejouer le rôle du petit animal après avoir entendu ce que j’avais à lui dire. En un sens, cela me fascinait de voir tant de comportements animaux et humains en un seul corps.

« C’est bon, tu peux t’occuper du miel qu’il te reste sur les lèvres. Pas de gestes brusques toutefois, laisse le temps à ta lèvre de cicatriser. Normalement tu ne craindras plus que la plaie ne se rouvre d’ici deux-trois jours. Bien sûr, évite de te mordre à nouveau la lèvre jusqu’au sang, je ne voudrais pas avoir d’une personne cherchant consciemment à se blesser sous mon toi. A présent, entre, je reviens d’ici quelques minutes avec quelques affaires, tu es libre de garder la veste pour le moment. »

Je tendais alors la main vers l’intérieur de la cellule pour l’inviter à entrer. Bien sûr, ce n’était que pour la forme, l’ordre y était clairement apparent. J’attendis qu’elle entre pour fermer la porte derrière elle. Quelques minutes plus tard, je revenais avec deux couvertures plus chaudes que ce qu’elle avait ainsi qu’avec son carnet. Déposant les affaires sur le lit, je me tournais vers elle avant d’indiquer.

« Voilà, nous en avons terminé pour aujourd’hui, le prochain repas sera dans six heures et demi. Sache que si tu souhaites me faire parvenir quelque chose, des sensations étranges et autre observations concernant, par exemple, la première expérience de la journée, je suis disposé à les recevoir. Autrement, je te souhaite un bon repos, cette journée n’est que la première d’une longue série, sois en certaine. Je compte donc sur ton entière coopération et sur l'honnêteté de tes réponses. »


- Adrenalean 2016 pour Epicode





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